"Toute une vie" succède à "Une vie, une ouvre" chaque samedi, à 15h, le portrait radiophonique de femmes et hommes d'exception. Rendez-vous sur l'application Radio France pour découvrir tous les autres épisodes. Spécialiste de la méditation et de la pleine conscience, Christophe André partage chaque semaine son expérience. Rendez-vous sur l'application Radio France pour découvrir tous les autres épisodes. L'itinéraire professionnel et intime d'une personnalité... Rendez-vous sur l'application Radio France pour découvrir tous les autres épisodes. ÉCOUTEZ LA SÉRIE COMPLÈTE - Saison 3 - Le cas Catherine Daviau Le jeudi 11 décembre 2008, la montréalaise Catherine Daviau se fait violer et assassiner chez elle, dans le quartier paisible de Rosemont. Avant de prendre la fuite, le meurtrier a tenté de brûler son corps. Des voisins sont alertés par l'incendie qui fait rage dans l'appartement du rez-de-chaussée. 13 ans plus tard, son meurtrier court toujours. Une série en 6 épisodes à suivre dès le 1 novembre. Crédits Synthèses est une sé ... Autour de Jérôme Garcin, une tribune de critiques partagent leur subjectivité et passent en revue les dernières productions artistiques et culturelles. Rendez-vous sur l'application Radio France pour découvrir tous les autres épisodes. Plus que jamais, le contenu de nos assiettes questionne. Traçabilité, origine des produits, méthodes de fabrication… Pas évident pour le consommateur de s’y retrouver. Sophie Moens et Carlo de Pascale remettent le couvert sans langue de bois. À leurs côtés, la crème des experts, penseurs et as des fourneaux. Mixez le tout et vous voilà embarqué pour une séance salivaire bouillonnante et d’utilité publique ! François-Régis Gaudry sort les crocs et et passe au grill toute l'actualité de la gastronomie. Rendez-vous sur l'application Radio France pour découvrir tous les autres épisodes. A l'heure du déjeuner, les convives - artistes, personnalités du monde de la culture et des idées - prennent place à table. Rendez-vous sur l'application Radio France pour découvrir tous les autres épisodes. Be Lively, c'est la boite à outil du bien-être. Méditation, sophrologie, réflexologie, conseils en nutrition... Au travers d'exercices ou de conseils pratiques, Isabelle Rigaud, experte bien-être, livre tous ses secrets pour prendre soin de soi et aller mieux au quotidien. Chaque épisode répond à une question bien-être liée à l'actualité et à l'ère du temps ou présente un exercice à réaliser porté par la voix d'Isabelle. Les épisodes de Be Lively sont disponibles sans publicités pour les abo ... Les grandes affaires, les aventures et les procès qui ont marqué les cinquante dernières années. Rendez-vous sur l'application Radio France pour découvrir tous les autres épisodes.Lacouleur de la victoire. Dans les années 30, Jesse Owens, jeune afro-américain issu du milieu populaire, se prépare à concourir aux Jeux d’été de 1936 à Berlin. Cependant, alors qu’Owens lutte dans sa vie personnelle contre le racisme ambiant, les Etats-Unis ne sont pas encore certains de participer à ces Jeux, organisés en
Avec Stephan James, Jason Sudeikis, Eli Goree, Shanice Banton, Carice Van Houten, Jeremy Irons, William Hurt, David Kross, Amanda Crew, Shamier Anderson, Glynn Turman... Bien trop académique et brouillon pour être à la hauteur de la légende Jesse Owens est l’homme le plus rapide des États-Unis et rêve logiquement de remporter une médaille d’or aux Jeux Olympiques. Sa détermination l’emmènera alors jusqu’à Berlin et à braver le régime nazi… Il est toujours difficile de s’attaquer à une légende, même pour un réalisateur ayant bourlingué depuis longtemps dans l’univers du cinéma "Predator 2", "Suspicion" et de la télévision "24 heures chrono". Mieux, Stephen Hopkins s’était déjà adonné à l’exercice éminemment complexe du biopic avec le très réussi "Moi, Peter Sellers". Pourtant, "La Couleur de la victoire" ne parviendra jamais à avoir la même saveur et la même précision scénaristique que son précédent exploit. Le film s’intéresse à Jesse Owens, quadruple champion olympique en 1936 et symbole de la résistance face à l’idéologie nazie. L’Histoire est connue de tous. Hitler organise ses Jeux, dans la seule optique de révéler au monde l’ultra-puissance et la domination athlétique de la race » aryenne sur les autres. Sauf qu’un jeune homme de couleur noir va perturber ses plans, en remportant quatre épreuves au nez et à la moustache de l’escadron allemand. Ce parcours hors du commun mérite tous les honneurs, et ce n’est malheureusement pas ce vulgaire objet ultra-formaté qui lui rendra le plus bel hommage. Car en multipliant les points de vue, le film se perd dès les premières minutes, ayant ainsi bien du mal à terminer la course sans fauter irrémédiablement. En cherchant à s’intéresser autant au parcours sportif qu’aux enjeux moraux et politiques ayant entouré la compétition les États-Unis devaient-ils boycotter ou non cette édition tristement célèbre ?, le réalisateur enterre son film dans une zone de transition où aucune des thématiques n’est véritablement traitée. La caractérisation de Joseph Goebbels frôle alors le ridicule lorsque que celle de la réalisatrice Leni Riefenstahl, personnage essentiel de la propagande nazie, se retrouve grandement édulcorée. Et ne parlons même pas des tergiversions des élites américaines quant à la position à adopter, tant celles-ci sont retranscrites par une caricature grotesque. Ce qui devient le plus surprenant, c’est qu’avec tous ses défauts, le métrage réussisse à éviter la sortie de piste. Ceci repose avant tout sur une mise en scène, certes emphatique, mais efficace zéro prise de risque, et sur des comédiens particulièrement étincelants. Si le jeune Stephan James fait démonstration d’une partition intéressante et s’affirme dans un nouveau rôle fort il avait notamment prêté son corps au militant pour les droits civiques John Lewis dans "Selma", on retiendra surtout la performance de Jason Sudeikis. Plutôt habitué aux comédies, le fraîchement quadragénaire excelle en coach borderline, obsédé par la victoire de son poulain afin de combler ses propres échecs, volant même la vedette au héros de ce drame hagiographique. À l’image d’une course d’un éternel second, "La Couleur de la victoire" a une technique parfaite, tout est précis, et pourtant il manque ce brin de génie et de folie qui fait l’étoffe des champions. Celui-là même qu’avait Jesse Owens. Envoyer un message au rédacteur À LIRE ÉGALEMENT
Cetarticle : La Couleur de la Victoire. par Stephan James DVD . 8,49 € Il ne reste plus que 5 exemplaire(s) en stock. Expédié et vendu par dodax-online-fr. Expédition de 2,49 € Les Chariots de feu. par Ben Cross DVD . 6,81 €