Parailleurs, il n’est pas rare qu’après une séance, vous ressentez des effets plus ou moins gênants sur une durée variable. Il peut s’agir de réactions physiques dues à l’élimination des toxines (diarrhée, vomissements, envie d’uriner plus souvent) ou émotionnelles (pleurs, rêves). Ces manifestations sont normales et
Aujourd’hui, les médecines douces, chinoises ou encore appelées alternatives, ont le vent en poupe et font de plus en plus d’adeptes. Il peut parfois être compliqué de s’y retrouver. Ici, on va vous parler de kinésiologie. Qu’est-ce que c’est ? Quels en sont les bienfaits ? Focus sur une pratique encore trop méconnue. La kinésiologie, qu’est-ce que c’est ? C'est dans les années 60 que l'on trouve les premières mentions de la kinésiologie comme pratiquée par les chiropracteurs américains. Depuis, elle s'est enrichie grâce à l'énergétique chinoise et aux nombreuses découvertes dans le domaine des neurosciences. La kinésiologie tend à aider les personnes à trouver un meilleur équilibre tant mental, qu'énergétique, physique ou émotionnel. C'est une approche globale de l'humain. Selon les kinésiologues, si un organe est faible ou malade, cela se répercute forcément sur la tonicité des muscles. De ce fait, observer une faiblesse d'un muscle en particulier et la soigner pourrait permettre de rétablir l'équilibre physique ou mental de la personne. Il existe diverses formes de kinésiologie le Touch for health la santé par le toucher, qui rééquilibre la posture, l'attitude et l'énergie vitale la kinésiologie psycho-émotionnelle la kinésiologie éducative la kinésiologie pour les sportifs. Pourquoi consulter un kinésiologue ? Les domaines d'application de la kinésiologie sont assez variés. Cela peut concerner le domaine psycho-émotionnel donc tout ce qui touche au stress, à l'anxiété, les peurs, phobies, croyances, les doutes, la tristesse, la mélancolie, le mal-être, la dépression, les addictions, mais aussi la confiance en soi, le sommeil ou les cauchemars, le domaine physique et énergétique, surtout les maux de dos, les céphalées, migraines, tensions physiques, douleurs diverses, la perte d'appétit ou les troubles digestifs, l'énurésie, les dérèglements hormonaux ou déséquilibres énergétiques, le domaine de l'apprentissage surtout les problèmes de concentration, d'organisation, la latéralité, la dyslexie, les difficultés scolaires ou le stress des examens. Si vous êtes soumis à un stress qui vous déséquilibre, au niveau physique comme émotionnel, alors la kinésiologie peut être une bonne solution à adopter. Il est aussi possible de la pratiquer à titre préventif, avant d'attendre que les effets du blocage observé ne soient plus importants et douloureux. Les bienfaits de cette pratique La kinésiologie fonctionne sur les trois principes qui constituent l'humain la structure os, muscles, organes, la biochimie métabolisme, nutrition, lien à l'environnement et le psychique donc le stress, les émotions, les croyances. La kinésiologie tente de faciliter les mouvements entre ces divers domaines, ce qui en stimule l'homéostasie. Les motifs de consultation peuvent varier d'un deuil à des troubles du sommeil, un manque de confiance en soi, un divorce, le stress, une prise de poids, des phobies ou des difficultés d'apprentissage au niveau scolaire ou professionnel. Cette pratique tend à rééquilibrer le corps et l'esprit. Ce n'est pas de la médecine ni une thérapie, elle ne soigne pas les maux mais fait le lien entre le vécu de la personne et l'impact que cela peut avoir sur son corps. Certains événements peuvent remonter à très loin et toujours influer sur le corps ou l'esprit de la personne. La kinésiologie aide à se débarrasser du stress, de ses peurs, de sa colère aussi, de toute émotion négative qui empêche d'avancer. Il n'y a pas de contre-indications à la kinésiologie. Tout le monde peut y faire appel même les enfants, les bébés et les femmes enceintes. La seule différence, c'est que pour les enfants, une séance sera plus dynamique. Elle se fera debout et durera moins longtemps que pour un adulte. En revanche, il convient de savoir choisir son praticien avec soin pour éviter les dérives. Consultez les sites nationaux et ceux des kinésiologues référencés à l'union nationale et internationale de kinésiologie et de la fédération française de kinésiologie. Les bienfaits sont donc divers et variés mais surtout nombreux. Le but principal n'est pas la simple guérison d'un mal physique, cela aide aussi à un bien-être global et à une santé améliorée. © istock Comment se déroule une séance ? La séance commence par un échange entre le patient et le kinésiologue. Le patient donne les motifs de sa consultation. Il faut trouver un fil conducteur à la séance. Le kinésiologue fait ensuite des tests musculaires. De cette façon, il observe ce qui arrive au niveau structurel du patient, énergétique aussi ou émotionnel pour comprendre le corps et pourquoi ces blocages existent. Selon lesdits blocages, certains outils vont être mis en place comme des points d'acupression, des points neuro-vasculaires ou des points neuro-lymphatiques, un balayage des méridiens, des mouvements du corps, des mouvements oculaires, des visualisations, etc. pour parvenir à relâcher les tensions. La personne, durant la séance, est encouragée à lâcher prise et à se focaliser sur ses émotions, ce qu'elle ressent. Lors de la séance, le praticien manipule manuellement le patient de manière à stimuler son système lymphatique, à améliorer sa circulation sanguine et celle du liquide rachidien. Il travaille sur les fibres nerveuses et équilibre les méridiens selon la médecine chinoise. Le kinésiologue peut aussi donner des conseils au consultant sur son hygiène de vie, au niveau de la nutrition ou de l'activité sportive, notamment. S'il s'agit d'une consultation en kinésiologie non thérapeutique, les choses diffèrent légèrement il faut toujours mettre en place un objectif avec la personne, les divers déséquilibres sont évalués avec des mises en situation et des tests musculaires. Ensuite, le praticien et le consultant cherchent ensemble des solutions à appliquer pour rétablir l'équilibre. Ensuite, le praticien fait une postévaluation des changements grâce à des tests, puis les résultats obtenus sont ancrés grâce à des tests musculaires. Un suivi individualisé est mis en place et des exercices à faire à la maison sont proposés. Le travail du kinésiologue peut demander que le patient soit debout, assis ou même allongée sur une table de massage. La séance dure une heure en moyenne. Le patient reste habillé et conscient durant toute la séance. Après la séance, le kinésiologue recommande de vous reposer afin que le corps puisse assimiler les divers changements associés au travail réalisé. Il peut parfois être nécessaire de faire plusieurs séances, surtout si les blocages du corps sont assez anciens. Mais si le problème rencontré est nouveau, une seule séance peut suffire. La kinésiologie est-elle remboursée ? Une séance peut coûter entre 50 et 60 euros voire plus dans certaines grandes villes. Certaines mutuelles peuvent prendre en charge les séances de kinésiologie. Vous devez donc vous renseigner au préalable. La sécurité sociale ne rembourse pas les séances de kinésiologie. À lire aussi La chiropratique expliquée définition et bienfaits
Laséance de Kinésiologie m’a permis d’atteindre mon objectif qui était de me remettre à l’anglais car je n’y parvenais pas. Dans les deux jours qui suivaient la séance, chez Auchan une anglophones me demandait où trouver du raisin sans pépins et son mari cherchait une crème après-soleil. Le lendemain, je contactai mon centre
Vous sortez d’une séance d’ostéopathie ou de toute autre consultation de médecine naturelle ou bien vous venez de démarrer le traitement que votre homéopathe vous a prescrit et vous vous sentez bien. Mais voilà qu’apparaissent quelques jours plus tard, des signes pour le moins désagréables auxquels vous ne vous attendiez pas. Tout va pour le pire et vous regrettez peut-être d’avoir opté pour le praticien en question. Finalement, n’avez-vous pas eu tort d’aller le voir sur les recommandations d’Untel ? Vous commencez à le regretter et vous vous demandez que faire… Laissez-moi vous expliquer ce qui est en train de se passer dans votre corps, et vous saurez comment il convient de réagir. Un réflexe désagréable, mais heureusement momentané Ce qui vous arrive porte le nom d’effet-rebond. C’est une aggravation réactionnelle transitoire qui survient le lendemain ou le surlendemain d’un soin, alors que tout semblait aller pour le mieux. En général, ce type de réaction a lieu lors des premières séances et ne se reproduit que rarement après. Cette phase est d’autant plus surprenante que la personne, rentrée soulagée par le soin, se sentait alors beaucoup mieux, d’où sa déception ça n’a pas marché » ou ça n’a servi à rien » ou le doute le thérapeute n’aurait pas fait une bévue ? ». Eh bien c’est étrange, mais ce qui se passe est tout à fait normal, et même plutôt attendu. L’effet rebond vient du grec resbon, factice. C’est un terme usité dans plusieurs disciplines en médecine, en psychologie, comme en économie. Dans les soins, cette phase – aussi appelée phase épileptoïde » – dure en général 10 jours. Dix jours durant lesquels tout est possible. Ce qui fait que si la personne ressort de la séance avec un soulagement et cette impression d’être dérouillé, les jours suivants sont moins glorieux. Apparaît une phase d’exagération parfois assez spectaculaire fatigue, courbature, apparition de douleurs variées, impression d’avoir été passé sous un rouleau compresseur, etc. Normalement, au 11ème jour, miracle tous ces symptômes disparaissent, y compris celui qui constituait le motif de la prix à payer La douleur n’est pas là pour nuire. Elle a une fonction. Elle est un signal d’alarme qui oblige la personne à réagir, voire à chercher une aide extérieure. Elle peut être aigüe ou chronique, et plus ou moins expressive. A minima, elle subsiste en toile de fond comme une gène supportable au fil des ans. Mais derrière cette douleur se dessine un système qui arrive aux limites de son adaptation. Le corps s’épuise à lutter contre un déséquilibre permanent. Lorsqu’on lève l’obstacle – l’origine du déséquilibre – l’organisme peut enfin se lancer dans un processus de réparation. Celui-ci est consommateur d’énergie et provoque des oedèmes, dits de réparation », aux endroits qui nécessitent remaniement. Ces zones font partie de la chaine dysfonctionnelle reliant la cause du problème à son expression le symptôme. Malheureusement, aux endroits où l’espace manque au niveau de la sortie des nerfs de la colonne vertébrale, la base du crâne, sous la clavicule, au niveau du canal carpien, certaines articulations, etc. l’oedème fera compression, ce qui est douloureux, parfois plus qu’avant consultation. Des signes de bon augure Même si désagréable, cet effet rebond est donc de bon augure. Il révèle que l’organisme retrouve le pouvoir de corriger les problèmes à l’origine du symptôme. En général, cela montre que l’on a touché à une cause profonde et assure la disparition d’un amas de symptômes et de la non-réapparition de ceux-ci, sauf si la personne retombait sur la même cause. Ceci serait alors l’indice d’un traumatisme émotionnelle inconscient sur laquelle il conviendrait de se pencher. La personne peut donc naturellement présenter après une bonne séance des signes de fatigue, des courbatures, des douleurs migrantes un coup le genou fait mal, puis la hanche, les lombaires, puis tout ça disparaît alors qu’une autre douleur survient à la nuque, etc.. L’intensité est tout à fait variable et semble dépendre de la chronicité, des tissus concernés et de l’importance du traumatisme à l’origine de tous ces maux. Pourquoi cela n’apparait-il qu’après la séance ? En général, la séance apporte un gain. La personne se sent soulagée. Quelque chose vient de se libérer à l’intérieur et ça se ressent. En plus du retour de la mobilité, on a l’impression que ça circule à nouveau . Le reste de la journée – après le soin – se passe plutôt bien. Il arrive même qu’on exagère un peu. Certains qui avaient les épaules bloquées, en profitent maintenant pour nettoyer les rideaux ou tailler les haies, choses qu’ils avaient du mal à réaliser auparavant. Je le leur déconseille fortement et je demande de rester calme pour les deux jours qui suivent cette séance. Mais dès le lendemain, c’est parfois la surprise. Que s’est-il donc passé ? Pendant le sommeil, le corps est entré dans une phase neurologique parasympathique, c’est-à-dire qu’il s’est mis en mode de récupération. L’organisme est en branle-bas de combat. Les cellules s’activent pour corriger tout ce qui peut l’être et cela se fait par de petites inflammations. Si beaucoup de choses sont à réparer, il est évident qu’il y aura des signes de fatigue, voire des courbatures. Quant aux douleurs, elles ne sont que la suite logique de ces inflammations qui compriment et chauffent, et comme tout cela ne se fait pas dans un état aigu, tout se passe à bas bruit localement, on ne voit rien alors que l’organisme travaille d’arrache-pied en arrière plan. Rendez à César ce qui est à César ! En réalité, même si ces signes sont expressifs les dix premiers jours en moyenne, les réactions de l’organisme en arrière plan s’étalent véritablement sur un mois et demi. Cependant, elles ne sont plus conscientes, c’est-à-dire que la personne ne ressent plus de désagréments. Néanmoins, il arrive parfois que les douleurs durent, malgré tout, plus longtemps que ces dix jours et que toute la période de réparation d’un mois et demi soit vécue avec difficulté. Dans ma pratique, j’attribue cela à un élément essentiel dont je n’ai pas tenu compte et qui aurait dû être corrigé lors de la séance. Du coup, l’organisme peine à se rétablir et cela se ressent. C’est pourquoi au-delà de deux semaines, il m’arrive fréquemment de compléter le soin, soit par un remède homéopathique, soit en faisant revenir la personne entre deux patients pour libérer le blocage sous-jacent. Il s’agit le plus souvent de dérangements vertébraux minimes. Si tel n’est pas le cas, l’indication ostéopathique n’est tout bonnement pas appropriée, auquel cas, je redirige la personne vers le professionnel le plus adéquat, tout en restant proche du patient et informé de son évolution. Certaines personnes, se sentant désemparées, cherchent dans l’urgence un autre thérapeute pour soulager la situation devenue catastrophique à leurs yeux cela dépend bien évidemment du niveau d’angoisse de chacun. Il faut savoir être rassurant. Mais si la personne se fait traiter par quelqu’un d’autre après notre séance, deux cas de figure sont possibles soit la situation s’aggrave encore les capacités de régénération sont à nouveaux sollicitées et on repart pour un tour et le patient impute tout ce qui lui arrive au premier thérapeute qui l’a traité ; soit cela s’atténue aussitôt ou dès le lendemain et le patient croit avoir déniché son sauveur, celui qui – enfin – a su trouver la cause de sa maladie. Dans ce second cas également, le premier thérapeute est aussi mis dans le même sac et sera considéré comme un incompétent, de dangereux par surcroît. Cependant, ce que le patient ignore, c’est que bien souvent le premier thérapeute ayant réellement touché la vraie cause de la maladie, ce qui arrive ensuite est tout simplement la phase épileptoïde de cet effet rebond. Le moindre petit soin dans cette phase accélère la réparation de manière spectaculaire et ce qui était attribué au thérapeute sauveur » n’est autre que la conséquence naturelle du premier traitement. Pourquoi n’y a-t-il pas d’effet rebond en médecine ? Là où la médecine allopathique s’occupe de réduire ou de faire disparaître les symptômes, les approches holistiques, elles, tentent de retracer l’histoire de la maladie et d’en corriger les causes sous-jacentes, car elles savent que si l’on n’atteint pas la cause, les conséquences s’éterniseront. Ces dernières confirment d’ailleurs le postulat de l’intelligence du corps. Et ce n’est pas qu’un postulat ! Observez une grossesse ou bien tout simplement une cicatrisation il nous est impossible de reproduire cela à notre niveau. Nous profitons tout au plus de ces propriétés, nous les manipulons un peu, mais c’est le corps qui orchestre tout. L’idée est d’éradiquer la cause puis de laisser le corps annuler toute l’adaptation jusqu’aux symptômes, ce qui suppose une période de réparation intense, dont le début est marqué par ce fameux effet rebond. Les patients ont l’impression d’un retour en arrière, comme s’ils revivaient à rebours leurs anciens symptômes. On dit en ostéopathie que pour chaque année d’adaptation, il faut compter un mois de récupération. Je le pense, mais cela ne veut pas dire que le patient ressentira cette activité de fond pendant toute cette période. Il sera libérée avant, tandis que l’organisme continue en sourdine à travailler sur sa lancée. Si l’on ne s’attarde qu’aux symptômes, en les réduisant, d’autres apparaissent. Il n’y a aucun effet rebond. Le patient cherche un soulagement rapidement, il l’obtient, mais progressivement, plusieurs jours, semaines ou mois, voire parfois quelques années seulement après, surviennent d’autres problèmes. C’est pourquoi, il est intéressant de s’attarder beaucoup plus tôt sur le moindre signe que présente la personne, aussi minime soit-il, parce qu’il trahit déjà qu’il se passe une chose dont l’organisme n’arrive pas à se libérer. Inutile de laisser cela prendre des proportions avec le temps. Et je ne crois pas qu’il s’agisse de prévention, mais d’un regard plus juste sur la maladie. Le danger dans tout cela est de confondre cet effet rebond avec une aggravation vraie. C’est pourquoi il faut être vigilant et surtout à l’écoute du patient, mais également du corps, qui lui ne ment pas. Il apparaît qu’une vraie relation d’équipe doive s’instaurer entre le patient et le thérapeute. Le patient doit participer à sa santé et se responsabiliser. Il doit sortir du rôle de victime et surtout regarder ses angoisses en face. Quant au thérapeute, il doit apprendre à parler, à expliquer avec des mots simples et traduire une sorte de feed-back ce qu’exprime le corps. C’est passionnant, et il serait égoïste de garder tout cela pour soi, alors qu’il s’agit, tout de même, du corps du patient ! Il incombe à chacun d’accepter ses propres limites, et accueillir l’autre tel qu’il est, climat à partir duquel il est possible de construire quelque chose. Patient et thérapeute peuvent alors se parler franchement sans se blesser. Et dans ce domaine, être vrai est la pierre angulaire du soin. Comment réagir ? La difficulté est de cerner si l’on est bien dans cette phase de réparation ou non, sachant que certains tissus l’ovaire par exemple peuvent réagir jusqu’à 3 mois après la séance. De ce fait, après l’effet rebond, la personne peut ne pas obtenir immédiatement le résultat escompté. On peut s’aider de diverses substances naturelles De l’ARNICA 5CH en homéopathie, 3 granules toutes les heures au début, puis 3 granules 3x/jour ensuite. Cela réduit les oedèmes. Du CURCUMA en gélules qu’on trouve en pharmacie et en magasin diététique. Associé au poivre vert, sa biosdisponibilité est meilleure. Mais en général, c’est toujours sous cette forme qu’on le trouve le seul bémol étant que la gélule n’est pas forcément de la meilleure composition. Le Curcuma optimise l’inflammation et la rend plus efficace, et donc moins intempestive. De ce fait, on peut considérer en quelque sorte cette épice comme un anti-inflammatoire. Testez si jamais vous avez des aphtes, c’est extraordinaire ! Huile Essentielle Hélichryse 1 goutte par jour en voie interne sur du miel par exemple et 1 goutte pure ou mélangée avec une huile d’olive, à masser sur la zone à problème. Cette huile essentielle réduit considérablement le temps de récupération. C’est assez surprenant. Mettez une bouillotte à hauteur du foie. La chaleur dilate les veines, ce qui fait un appel de sang veineux dans le foie et décongestionne à distance les zones d’inflammation, sur lesquelles devrait être appliquée simultanément une compresse froide par tranche de dix minutes. Boire de l’eau. C’est bête, mais ça réduit en effet la douleur. Mettez dans une bouteille d’un litre une cuillère à café de sel non-raffiné. Buvez-en dans la journée. Reposez-vous ! Eh oui, c’est en dormant qu’on guérit le plus vite. Prenez du Magnésium. J’en parle longuement dans cet article où je conseille deux formes spécifiques il y en a bien entendu d’autres et c’est à voir au cas par cas. Le Magnésium est considéré comme un dépolluant de l’organisme, mais il est aussi capable de calmer le corps et de le ramener dans une phase de récupération. Mais attention ! Si vous avez une dette en sommeil, attendez-vous à être assommé par le magnésium. Le sommeil deviendra un impératif contre lequel il sera difficile de lutter. Remerciez votre corps, gratifiez-le et songez à lui avec bienveillance. Il fait ce qu’il faut et il le fait bien il est nullement en défaut ! Je déconseille de prendre en première intention des anti-inflammatoires traditionnels, sauf si nécessaire, c’est-à-dire si la douleur est insupportable il est inutile de souffrir bêtement. Comprenez que ces médicaments réduisent l’inflammation, or l’inflammation est le seul outil à la disposition du corps pour réparer et rétablir l’équilibre. Son autre moyen, semble t-il, est l’aide apportée par les virus et les bactéries, mais c’est un autre débat. Certains pesteront contre le thérapeute – et ce, même si l’on prévient et explique auparavant cet effet – alors qu’il s’agit d’un phénomène pour le moins naturel et connu d’autres médecines ex l’homéopathie. Cette aggravation est momentanée et salutaire. Si la réaction est exacerbée, la personne est invitée à prévenir son thérapeute des réactions post-séances afin de s’assurer qu’il s’agisse bien de cet effet. Mais il faut comprendre qu’on ne peut demander à son corps de reprendre sa course effrénée sans une période de repos qui – si l’on a oublié – porte le nom de convalescence». Écrit 9 janvier 2013 Mis à jour le 8 mars 2020
Ilmet en évidence la relation entre une situation de stress et la réaction d’un muscle. Le test musculaire va servir, tout au long de la séance de kinésiologie, d’indicateur d’information « détenues » par le corps. En testant un ou plusieurs muscles, le kinésiologue pourra avoir accès aux facteurs de stress de la personne qui vient consulter, mais également aux corrections à
Rendez-vous est fixé au cabinet de Dorothée Blard, kinésiologue à la Maison de santé de Lux. C’est la première fois que je teste une séance de kinésiologie. Inutile de commencer par une définition qui ne nous dirait pas grand-chose. Je sais seulement que Dorothée Blard est formée à l’école KOREVIE, affiliée à la Fédération Française de Kinésiologie. Et qu’elle travaille sur les émotions, les inconforts, les blocages physiques et émotionnels, la finalité étant de rééquilibrer tout ce bazar trimbalé par le corps. Première étape la définition de l’objectif Assise face à moi, Dorothée me pose quelques questions générales puis m’amène à formuler l’objectif que je souhaite donner à cette séance, ce que je veux travailler pour aller vers un mieux-être. Ce temps de parole passé, elle se place debout devant moi pour établir une connexion énergétique. Je ne cherche pas à comprendre le travail de Dorothée a commencé, elle sait ce qu’elle doit faire et, à partir de cet instant, c’est mon corps qui l’aiguillera et lui fournira des réponses. Spécificité de la méthode le test musculaire Dorothée m’a donné quelques précisions préalables Durant cette séance, je travaillerai sur ce que dit votre corps, en utilisant le test musculaire. Car le corps ne ment pas. » Le tonus des muscles est en quelque sorte la voix de mon inconscient, donnant sa réponse en se maintenant ou en s’affaissant. Commence alors la phase la plus longue l’investigation. Je suis allongée très confortablement, l’avant-bras levé repose sur le coude. La kinésiologue se concentre et pose doucement des questions, tout en testant de sa main le tonus de mon avant-bras. Je sens clairement que ce n’est pas à moi qu’elles sont adressées, mais à mon corps. Et, sans aucun contrôle, en observatrice, je constate que mon avant-bras tantôt vacille, tantôt reste immobile sous la légère pression de ses doigts. Différents outils Parfois, Dorothée me pose une question, m’invitant à me souvenir d’un instant précis. On peut être surpris, soit par la résurgence d’un souvenir, soit par un grand trou de mémoire. Différents tests sont utilisés au cours de l’investigation. La kinésiologie est une discipline assez récente, inventée aux États-Unis dans les années 60 par le Dr Goodhear, chiropracteur. En soignant ses malades, il s’aperçoit que le manque de tonicité d’un muscle est souvent lié à un organe malade. Cette pratique a évolué, elle s’appuie sur des protocoles complexes qui empruntent à différents savoirs, dont les points d’acupuncture de la médecine chinoise. Elle regroupe un ensemble de techniques de gestion du stress et des émotions. Dorothée Blard travaille également les réflexes archaïques et pratique par ailleurs la kinésiologie animale, qui peut se faire à distance. L’ancrage Même si le patient ne comprend pas, le travail se fait. Car le corps est capable de mettre en place tout ce dont il a besoin. » Ce travail silencieux du corps se poursuit sur une période pouvant varier de quelques semaines à quelques mois. Pour réaliser l'ancrage, il se peut que vous repartiez avec quelques petits exercices à faire à la maison, pour libérer plus en profondeur. Pour qui ? Inutile de lister tous les blocages que le corps peut accumuler et qui se traduisent de si diverses façons. Par exemple, Dorothée met en place une collaboration avec une école maternelle de Chalon pour travailler avec les enfants sur la gestion des émotions, afin de faciliter la concentration et l’apprentissage. Elle travaille également en collaboration avec une ostéopathe Parfois, une douleur disparait après une séance chez l’ostéopathe, mais peut revenir d’une façon chronique. On doit s’interroger sur la raison de cette chronicité, ce que peut faire le kinésiologue. » Toute personne porte en elle des nœuds, la question est de savoir si son bien-être en est affecté. Donc la vraie question serait non pour qui », mais pour quoi ? » Et là, la réponse est limpide pour se libérer d’un stress, d’un déséquilibre, qu’il soit physique, mental, émotionnel ou psychique. Par Nathalie DUNAND[email protected] Kinésiologie humaine et animaleDorothée BlardMaison de santé de Lux23, rue André MalatrayTél. 06 61 05 02 50Site
Ilest possible que des réactions apparaissent après votre séance, et c'est normal ! Une séance peut parfois agir comme un nettoyage, le corps a donc parfois besoin d'évacuer après ! Pas de panique, c'est ce que nous appelons un processus libératoire. Cela peut se manifester physiquement (on va un peu plus aux toilettes, transipiration
Le traumatisme psychique est une expérience qui reste enregistrée dans la mémoire de la personne après qu’elle ait été victime d’un épisode douloureux dans le passé. Nous associons généralement le mot traumatisme à quelque chose de fort et d’évident, cependant, nous devons nous rappeler qu’il peut également s’agir de quelque chose de petit et de cumulatif. La dépression, l’anxiété et les symptômes psychosomatiques découlent dans de nombreux cas d’un traumatisme non résolu. Lorsque nous nous confrontons à ce que nous percevons comme inéluctable ou comme une menace écrasante pour notre vie, nous nous préparons instinctivement à lutter ou à fuir. Si pour une raison quelconque, nous ne pouvons pas exécuter l’une de ces réponses, car nous mettrions notre vie en danger, le cerveau passera au-delà de nos pulsions et de nos instincts, nous conduisant à l’immobilisation ou au gel, ce dernier étant responsable des symptômes. Ne pouvant mener à bien sa réponse instinctive de lutte ou de fuite face à ce qu’il perçoit comme menaçant et inéluctable, le corps garde l’énergie et les substances chimiques qu’il génère bloquées en son sein. Voilà ce qui produit le traumatisme ou les conséquences du syndrome du stress post-traumatique et qui engendrera des symptômes de différents types Physiquement Sensations de douleur persistante dans le corps, fatigue chronique, douleur dans la poitrine ou dans le dos, tension musculaire, fibromyalgie, migraines, nausées, gastrites, ulcères, hyperexcitation, hypervigilance, intrusion d’images du traumatisme, cauchemars, sursauts exagérés, attaques de panique, hypersensibilité au bruit, à l’odeur et au toucher. Émotionnellement Changements soudains de tempérament, capacité diminuée à gérer le stress, difficulté à établir un rapport avec les autres, isolement, pleurs fréquents, réactions émotionnelles exagérées et incontrôlables. Difficulté à contrôler la peur ou la terreur, même après l’événement. Sentiments de désespoir, d’impuissance, lamentation, dépression, perte d’intérêt pour la famille, le travail et d’autres choses qui provoquaient auparavant du plaisir. Mentalement Paranoïa, pensées obsessionnelles et compulsives, confusion, difficultés de concentration, faible tolérance aux différences. De nombreuses personnes, inconscientes de leurs traumatismes, vivent avec leurs symptômes. À l’aide d’un test de kinésiologie, nous pourrons aider la personne à en prendre conscience et à rétablir l’équilibre de sa psyché. Test kinésiologique de traumatisme psychique Si le patient demande un traitement émotionnel, nous vérifierons s’il a subi un traumatisme quelconque qui continue à le déséquilibrer. À cette fin, nous placerons la fiole de la psyché du kit de test de base élargi sur le patient, et si un AR apparaît, alors la personne aura besoin de soigner un traumatisme du passé. Après la fixation de l’information en AR, nous demanderons à la personne de donner son âge et de compter à rebours jusqu’à ce que l’un des âges supprime l’AR. Lorsque cette année est atteinte, nous fixerons à nouveau l’information et poserons des questions au patient concernant d’éventuelles situations émotionnellement difficiles survenues à ce stade de sa vie. Afin de l’aider dans ses recherches, nous testerons différents aspects de la vie de la personne ou émotions. Nous effectuerons ensuite le Test des fleurs de Bach afin de rechercher les fleurs associées à l’émotion du traumatisme passé puis nous lui administrerons trois gouttes pures de la fleur de Bach mise en évidence. Nous poursuivrons avec la technique d’intégration des émotions. Rappelons que cette technique consiste à toucher des points neuro-vasculaires de l’estomac du patient pendant que nous lui demandons de se souvenir de l’événement traumatique et de le visualiser. Après quelques minutes, nous passerons à la technique connue sous le nom de libération de la tension émotionnelle, lors de laquelle le patient devra se vider la tête et respirer de façon détendue. À cette fin, nous poserons la main gauche sur son front et la main droite sur son occipitale, en conservant cette position pendant quelques minutes. Avec cette technique, nous parviendrons à relâcher la tension causée par l’expérience traumatisante. Nous effectuerons enfin le contrôle de thérapie afin de vérifier si le traitement est suffisant ou si le patient a besoin d’autre chose. S’il est suffisant, nous reviendrons à son âge actuel, le patient devant le mentionner lui-même à haute voix. Ensuite, nous testerons et vérifierons que l’indicateur n’a pas été modifié. Il est important de rappeler qu’il est impossible de soigner plusieurs traumatismes lors d’une même séance. Nous pourrons uniquement nous concentrer sur l’un d’entre eux. Dans les jours suivants, nous effectuerons à nouveau le test afin d’approfondir au niveau de la couche émotionnelle suivante, autrement dit, afin de trouver un traumatisme précédent à celui traité lors de la première séance. Analía Iglesias analia Kinepharma
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reaction apres une seance de kinesiologie